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Latest Documents


  • 6-July-2023

    English

    The nexus between illegal trade and environmental crime

    Environmental crime is on the rise and is of growing concern to policy makers, to legitimate businesses, and more broadly to the general public. It is growing rapidly worldwide on average at over 8% per year, with an estimated value between USD 110-281 billion in 2018. Emerging issues include wildlife trafficking, illegal timber, illegal mining, illegal chemicals, illegal waste trafficking, and illegal, unreported and unregulated (IUU) fishing. Environmental crime can have serious implications to human health and the environment, to the global economy, and more broadly to good governance, national security and sustainable development. Addressing these criminal activities affecting the environment is difficult exclusively at the national level as they often extend on a transnational scale. In this context, this report provides a snapshot of cross-border environmental crime and available initiatives to tackle illegal activities at a transnational scale, with a particular focus on multilateral and regional frameworks. The key message from this report is that the increasing prevalence of cross-border environmental crime is due to regulatory failures and the growing involvement of transnational organised crimes, which require an internationally co-ordinated response, both at the multilateral and regional level.
  • 4-July-2023

    English

    2nd Expert Workshop on Environmental Sustainability

    This Expert Workshop was an opportunity to learn more about the Environment at a Glance in Latin America and the Caribbean and its key findings in relation to climate change, biodiversity and use of environmental policy instruments.

    Related Documents
  • 4-juillet-2023

    Français

    Essai n° 316 : Phototransformation de produits chimiques dans l'eau – Photolyse directe

    Cette Ligne directrice décrit des études de phototransformation dans l'eau afin de déterminer les effets potentiels des radiations solaires sur les produits chimiques dans les eaux de surface. Seule la photolyse directe est prise en compte. La Ligne directrice est organisée par étapes. La première étape se base sur un dépistage théorique. Dans les études de photolyse directe, la vitesse de dégradation d'une substance suit approximativement une cinétique de premier ordre. Si les pertes maximales estimées sont supérieures ou égales à 50% de la concentration initiale au bout de 30 jours, on effectue une étude expérimentale en deuxième étape. En laboratoire, les constantes de vitesse de photolyse directe des produits chimiques sont déterminées en utilisant des lampes à arc de xénon filtrées capables de simuler la lumière naturelle entre 290 et 800 nm ou des radiations solaires, et extrapolées pour simuler les conditions dans l'eau. Si les pertes estimées sont supérieures ou égales à 20%, les voies de transformation, ainsi que la nature, les concentrations, les taux de formation et de dégradation de principaux produits de transformation sont identifiés. De plus, il est possible de déterminer le rendement quantique en fonction du type d'eau, des saisons et de la latitude. La substance testée devrait être directement dissoute dans le milieu aqueux saturé en air à une concentration inférieure à la moitié de sa solubilité. Pour les étapes supérieure et finale du test, au moins 5 et 7 échantillons doivent être prélevés respectivement pour la régression des données. Le nombre exact d'échantillons ainsi que la fréquence de prélèvement sont déterminés dans des études préliminaires. Pour établir la variabilité et réduire l'incertitude de détermination, il est recommandé d'utiliser au moins deux réplicats par expérimentation.
  • 4-juillet-2023

    Français

    Essai n° 456 : Essai de stéroïdogenèse H295R

    Cette Ligne directrice décrit un essai in vitro permettant de détecter les effets de produits chimiques sur la stéroïdogenèse, en particulier la production de 17β-œstradiol (E2) et de testostérone (T). La lignée cellulaire H295R de carcinome surrénalien humain, utilisée pour cet essai, exprime les gènes qui codent toutes les enzymes clés pour la stéroïdogenèse. Après une période d’acclimatation de 24 h dans les plaques de culture multi-puits, les cellules sont exposées pendant 48 h à sept concentrations du produit chimique d’essai, au moins en triplicat. Le solvant ainsi qu’un inhibiteur et un inducteur connus de la production des hormones sont employés à une concentration fixe comme témoins négatifs et positifs. À la fin de la période d’exposition, on analyse la viabilité des cellules de chaque puits. Plusieurs méthodes peuvent être utilisées pour mesurer la concentration des hormones dans le milieu, notamment les trousses commerciales de dosage des hormones ou des techniques instrumentales comme les systèmes combinés de chromatographie en phase liquide et spectrométrie de masse. Les données sont exprimées sous la forme d’un facteur multiplicatif de changement par rapport au témoin solvant et d’une concentration minimale avec effet observé. Si l’essai est négatif, la plus forte concentration testée est indiquée sous la dénomination de «concentration sans effet observé».
    Also AvailableEgalement disponible(s)
  • 4-juillet-2023

    Français

    Test No. 240: Étude étendue de toxicité pour la reproduction sur une génération chez médaka (MEOGRT)

    Cette Ligne directrice décrit un essai de toxicité étendu au-delà d’une génération chez le médaka (Medaka Extended One Generation Test, MEOGRT). C’est un essai complet d’exposition visant à obtenir des données pouvant servir à l’évaluation des dangers et des risques pour l’environnement liés aux produits chimiques, en particulier les produits suspectés d’être des perturbateurs endocriniens (PE). L’exposition dans le test MEOGRT est poursuivie jusqu’à l’éclosion (jusqu’à deux semaines post-fécondation, spf) dans la seconde génération (F2). Plusieurs effets biologiques sont mesurés dans la présente Ligne directrice. Il s’agit en premier lieu de mettre en évidence les effets indésirables potentiels sur des paramètres pertinents en termes de population, tels que la survie, le développement macroscopique, la croissance et la reproduction. En second lieu, afin de disposer d’informations mécanistiques et de pouvoir établir des liens entre les résultats d’autres types d’études de terrain ou de laboratoire établissant a posteriori une activité potentielle de perturbation du système endocrinien (activité androgénique ou œstrogénique dans d’autres tests et essais, par exemple), on obtient d’autres informations utiles en mesurant l’ARNm de la vitellogénine (vtg) (ou la protéine vitellogénine, VTG) et des caractères sexuels secondaires (CSS) phénotypiques liés au sexe génétique, et en procédant à une évaluation histopathologique.
  • 4-juillet-2023

    Français

    Essai n° 219: Essai de toxicité sur les chironomes dans un système eau chargée-sédiment

    Cette méthode d’essai est conçue pour évaluer les effets de l'exposition prolongée à des produits chimiques sur des larves de Chironomus sp. , un diptère vivant dans les sédiments d’eau douce. Des chironomes au premier stade larvaire sont exposés à au moins cinq concentrations de la substance d'essai dans un système sédiment-eau. L'essai commence par l’introduction de larves au premier stade dans les béchers d'essai contenant le système sédiment-eau et l’ajout de la substance d'essai dans l'eau. Le taux d'apparition et de développement des chironomes est mesuré à la fin de l'essai. La durée maximum d'exposition est de 28 jours pour C. riparius, C. yoshimatsui, et 65 jours pour C. tentans. La survie et le poids des larves peuvent également être mesurés, si nécessaire, après 10 jours (en ajoutant le nombre d'expériences identiques requis). Le rapport d'essai inclut la durée du développement et le nombre total de moucherons totalement émergés (le sexe et le nombre sont enregistrés quotidiennement), l'observation de tout comportement anormal, Le nombre de pupes visibles n'ayant pas réussi à émerger et la présence de tout amas d'oeufs déposé. Les données sont analysées soit à l'aide d'un modèle de régression pour estimer la concentration qui entraînerait une réduction de x% de l'émergence, de la survie des larves ou de leur croissance, soit par la vérification d'une hypothèse statistique afin de déterminer une CSEO/CMEO.
  • 4-juillet-2023

    Français

    Essai n°126 : Détermination de l'index d'hydrophobicité des nanomatériaux par mesure de l'affinité

    Cette Ligne directrice décrit une méthode qui permet de déterminer l'index d'hydrophobicité (Hy) des nanomatériaux (NMs), au moyen d'une mesure d'affinité. L'hydrophobicité est définie par 'l'association de groupes ou molécules non-polaires dans un environnement aqueux qui provient de la tendance de l'eau d'exclure les moléculaes non-polaires'. En mesurant le taux de liaison à différentes surfaces conçues (colleceteurs), Hy exprime la tendance des nanomatériaux de se lier à des surfaces non-poliares (hydrophobiques) à cause de leur faible affinité pour l'eau. La méthode s'applique aux nanomatériaux dispersés dans une solution aqueuse ou à des poudres de NMS après leur dispersion dans des solutions aqueuse, avec ou sans tensioactif, suivant un protocole recommandé.
  • 4-juillet-2023

    Français

    Essai n° 496 : Méthode d’essai macro-moléculaire in vitro pour l’identification de produits chimiques provoquant des lésions oculaires graves et les produits chimiques ne relevant d’aucune classification pour irritation oculaire ou lésions oculaires graves

    La méthode d’essai macro-moléculaire in vitro est une méthode biochimique in vitro qui peut être utilisée pour identifier des produits chimiques (substances et mélanges) susceptibles d’induire des lésions oculaires graves, ainsi que des produits chimiques ne relevant d’aucune classification pour irritation oculaire ou lésions oculaires graves. La méthode d’essai macro-moléculaire in vitro exploite un mélange réactif macro-moléculaire composé de protéines, de glycoprotéines, de glucides, de lipides et d’éléments à faible masse moléculaire qui, une fois réhydraté, forme une matrice macro-moléculaire complexe qui reproduit la structure hautement organisée et transparente de la cornée. L’opacité cornéenne est considérée comme le principal critère de classification des dangers pour l’œil. Les produits chimiques testés provoquant la dénaturation, le dépliement et des changements de conformation des protéines induisent une désorganisation et une désagrégation de la structure hautement organisée de la matrice macro-moléculaire, ce qui génère une turbidité du réactif macro-moléculaire. À l’aide d’un spectromètre, ce phénomène peut être quantifié en mesurant les changements de diffusion de la lumière à une longueur d’onde de 405 nm et en comparant ces valeurs à une courbe d’étalonnage (établie en parallèle en mesurant la hausse de la densité optique (DO) induite par une série de substances étalon).
  • 4-juillet-2023

    Français

    Essai n° 218: Essai de toxicité sur les chironomes dans un système eau-sédiment chargé

    Cette Ligne directrice est conçue pour évaluer les effets d’une exposition prolongée à des produits chimiques sur des larves Chironomus sp., un diptère vivant dans les sédiments d’eau douce. Des chironomes au premier stade larvaire sont exposés à au moins cinq concentrations de la substance d'essai dans un système sédiment-eau. La substance d'essai est incorporée au sédiment et des larves au premier stade sont introduites dans des béchers où les concentrations d'eau et de sédiment ont été stabilisées. Le taux d'apparition et de développement des chironomes est mesuré à la fin de l'essai. La durée maximum d'exposition est de 28 jours pour C. riparius, C. yoshimatsui, et 65 jours pour C. tentans. L'essai limite correspond à un niveau de dose de 1000 mg/kg. La survie et le poids des larves peuvent également être mesurés, si nécessaire, après 10 jours (en ajoutant le nombre d'expériences identiques requis). Le rapport d'essai inclut la durée du développement et le nombre total de moucherons totalement émergés (le sexe et le nombre sont enregistrés quotidiennement), l'observation de tout comportement anormal, le nombre de pupes visibles n'ayant pas réussi à émerger et la présence de tout amas d'oeufs déposés. Les données sont analysées soit à l'aide d'un modèle de régression pour estimer la concentration qui entraînerait une réduction de x% de l'émergence, de la survie des larves ou de leur croissance, soit par la vérification d'une hypothèse statistique afin de déterminer une CSEO/CMEO.
  • 4-juillet-2023

    Français

    Essai n° 458: Essai d'activation transcriptionnelle faisant intervenir le récepteur des androgènes humain transfecté de façon stable pour la détection de l'activité androgénique agoniste et antagoniste des produits chimiques

    Cette Ligne directrice décrit des essais in vitro d’activation transcriptionnelle faisant intervenir le récepteur à androgène (ARTA) pour la détection de l’activité androgénique agoniste et antagoniste. Ces essais ARTA sont mécanistiquement et fonctionnellement similaires et génèrent des informations sur l’activation transcriptionnelle d’un gène rapporteur suite à la liaison entre le produit chimique testé et le récepteur à androgène. Les lignées cellulaires utilisées dans ces essais expriment le récepteur à androgène et ont été transfectées de façon stable par un gène rapporteur de la luciférase lié à l’activation du récepteur à androgène ; ces lignées cellulaires sont utilisées pour identifier les produits chimiques qui activent (agonistes) ou inhibent (antagonistes) la transcription du récepteur à androgène. Certains produits chimiques peuvent, en fonction du type de lignée cellulaire, montrer à la fois une activité agoniste et antagoniste, et sont connus comme modulateurs sélectifs du récepteur à androgène. Le récepteur à androgène est activé suite à la liaison du produit chimique ; une fois cette liaison établie, le complexe récepteur-ligand subit une translocation vers le noyau où il se fixe à certains éléments de réponse de l’ADN et transactive le gène rapporteur de la luciférase, induisant une augmentation de l’expression cellulaire de l’enzyme luciférase. La luciférine est un substrat transformé par l’enzyme luciférase en produit bioluminescent mesurable quantitativement par un luminomètre. Les systèmes d’essai proposés dans cette Ligne directrice utilisent les lignées cellulaires AR-EcoScreenTM, AR-CALUX®, et 22Rv1/MMTV_GR-KO.
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