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Ces orientations stratégiques résultent du programme de travail pluriannuel du Comité d’aide au développement sur les flux financiers illicites (FFI) dans le négoce de produits pétroliers. Elles visent à proposer, au titre de l’aide publique au développement (APD), un ensemble de mesures utiles, réalistes et applicables pour lutter contre les FFI dans le négoce de produits pétroliers. L’objectif est d’accroître la mobilisation des ressources intérieures au profit des populations qui vivent dans les pays en développement producteurs de pétrole, et de favoriser l’intégrité dans le cadre de la transition énergétique, en particulier pour le commerce de carbone.

The 'Miracle on the River Han' catapulted Korea from developing country to a prosperous economy, driven in part by advancements in science, technology, and innovation. Being the second-highest R&D spender among OECD economies, Korea excels in key technologies, including semiconductors, 6G, and ICT infrastructure. Despite this remarkable progress, disparities remain between SMEs and chaebols, manufacturing and services, ICT and non-ICT industries, and urban and rural areas. Korea also grapples with societal and economic vulnerabilities, including an aging population, a significant carbon footprint, limited renewable energy use, and pronounced gender inequality. To further seize opportunities for equitable and inclusive growth, Korea must foster a shared national vision to develop science, technology, and innovation to address societal issues, enhance R&D policy implementation, promote excellent research, further internationalise, and broaden technology diffusion.

La région du Sahel et de l’Afrique de l’Ouest est confrontée à une grave crise de sécurité alimentaire et nutritionnelle : des taux de dénutrition sévère élevés y côtoient une forte prévalence des carences nutritionnelles et de la suralimentation – le « triple fardeau de la malnutrition ». À l’origine de toutes les formes de malnutrition ainsi que de diverses maladies non transmissibles courantes, la mauvaise alimentation est responsable d’environ un décès d’adulte sur cinq dans le monde. Le coût élevé des aliments constitue un obstacle majeur à l’accès à une alimentation saine. Même avant la récente inflation des prix alimentaires mondiaux, les prix alimentaires étaient déjà 30 % à 40 % plus élevés en Afrique de l’Ouest que dans d’autres régions du monde au niveau de revenu comparable. Cette note se propose d’analyser le coût d’une alimentation saine dans 17 pays d’Afrique de l’Ouest et du Sahel et d’identifier les groupes d’aliments qui composent ce coût. La forte variabilité des coûts et de leur composition observée entre les pays souligne la nécessité de politiques alimentaires plus ciblées et sensibles à la nutrition, mais aussi de données sur les prix alimentaires et de capacités de suivi renforcées.

This annual publication compiles comparable tax revenue statistics for 30 economies, including Armenia, Australia, Bangladesh, Bhutan, Cambodia, People’s Republic of China, Cook Islands, Fiji, Indonesia, Japan, Georgia, Kazakhstan, Korea, Kyrgyzstan, Lao People’s Democratic Republic, Malaysia, Maldives, Mongolia, Nauru, New Zealand, Pakistan, Papua New Guinea, Philippines, Samoa, Singapore, Solomon Islands, Thailand, Tokelau, Vanuatu and Viet Nam. Additionally, it provides information on non-tax revenues for selected economies. The publication applies the OECD Revenue Statistics methodology to Asian and Pacific economies, facilitating consistent comparison of tax levels and structures within the region as well as globally. This tenth edition of the report includes a special feature on strengthening property taxation in Asia. The publication is jointly produced by the OECD’s Centre for Tax Policy and Administration and the OECD Development Centre, in co-operation with the Asian Development Bank, the Pacific Islands Tax Administrators Association and the Pacific Community.

What are the root causes of gender inequality? Building on the fifth edition of the Social Institutions and Gender Index (SIGI), the SIGI 2023 Global Report provides a global outlook of discriminatory social institutions, the fundamental causes of gender inequality. It reveals how formal and informal laws, social norms and practices limit women’s and girls’ rights and opportunities in all aspects of their lives. Globally, 40% of them continue to live in countries where gender-based discrimination is assessed as high or very high. The report stresses how discriminatory social institutions curtail women’s and adolescents’ fundamental access to sexual and reproductive health and rights. It also sheds light on the gendered impacts of climate change and underlines how women can play a pivotal role in climate change mitigation and adaptation. To accelerate efforts aimed at achieving SDG 5 and eliminating the underlying and structural factors that hamper women’s empowerment, the report offers concrete policy actions. It calls for a gender-transformative approach to leverage crises and challenges into windows of opportunity to establish women and men as agents of change.

By 2050, the global population living in cities is projected to reach 5 billion, growing from 3.5 billion in 2015. Massive investment in infrastructure will be needed to accommodate this growth, and to adapt infrastructure to climate change and benefit from the digital transition. This report explores three ways to meet this challenge. Firstly, it outlines how new forms of urban planning can help to mobilise private finance for inclusive, resilient and sustainable urban investment. Secondly, it explores how leveraging private investment can help to strengthen cities capacity to support needed investment in a tighter fiscal environment. Finally, it considers the potential opportunities and challenges for mobilising sustainable finance – green, social and sustainable bonds and loans, sustainability-linked bonds and catastrophe bonds – for infrastructure investment by City Governments. The report also includes 17 short case studies from 12 countries that demonstrate innovative practices for creating the Cities of Tomorrow.

Ce rapport est la troisième évaluation ciblée sur les questions de fiscalité et de développement réalisée à l'intention des ministres des Finances et des gouverneurs de banque centrale du G20. Il fait le point sur les progrès réalisés par les pays en développement dans le cadre de leur engagement avec le Cadre inclusif OCDE/G20, une collaboration internationale de plus de 140 pays et juridictions qui travaillent ensemble pour lutter contre l'évasion fiscale, améliorer la cohérence des règles fiscales internationales et assurer un environnement fiscal plus transparent. S'appuyant sur la Feuille de route 2022 sur les pays en développement et la fiscalité internationale, le rapport précise et concentre l'éventail des actions à entreprendre pour soutenir les principales priorités des pays en développement en matière de fiscalité internationale, notamment les normes convenues au niveau international sur la déclaration pays par pays ainsi que les règles mondiales de lutte contre l'érosion de la base d'imposition (GloBE) qui mettront en place un impôt minimum mondial pour les grandes entreprises multinationales.