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Corée

La Corée et l'OCDE

 

En signant la convention relative à l’Organisation de coopération et de développement économiques le 19 décembre 1996, la Corée rejoignait l’OCDE et s’engageait à tout mettre en œuvre pour atteindre ses objectifs fondamentaux


Quel rôle joue la délégation ?

Comme chacun des 30 pays membres, le gouvernement coréen dispose d’une représentation permanente auprès de l’OCDE, composée d’un ambassadeur et de diplomates. En tant que membre du Conseil, l’ambassadeur de Corée, en concertation avec ses pairs, approuve le programme de travail et détermine le volume du budget annuel, les contributions étant établies en fonction du  poids économique de chaque pays. 


Par ailleurs, les membres de la délégation coréenne suivent le travail des différents comités de l’OCDE ainsi que les activités de l’Agence pour l’énergie nucléaire (AEN), l’Agence internationale de l’énergie (AIE), le Forum international des transports (FIT) et le centre de développement, dont la Corée est membre.


Enfin, les délégations jouent un rôle essentiel de communication entre le Secrétariat de l’OCDE et les autorités nationales. Elles représentent la position de leur gouvernement lors des négociations multilatérales, indiquent les domaines pour lesquels leur gouvernement sollicite l’expertise de l’OCDE et s’efforcent de donner un écho aux recommandations de l’OCDE dans leur pays. Elles sont ainsi garantes de la bonne adéquation entre le travail de l’OCDE et les problématiques nationales.


Quels sont les bénéfices d’une appartenance à l’OCDE ?
Les bénéfices pour les pays sont multiples. L’OCDE – par ses études par pays et la production régulière de données statistiques et économiques comparatives – fournit aux états membres un  précieux outil d’analyse et de suivi de leur politique économique, sociale ou environnementale. Les pays bénéficient également de l’expertise unique accumulée à l’OCDE, notamment l’examen par les pairs, et d’un accès à l’ensemble des travaux de recherche et d’analyse effectués par le Secrétariat. Couvrant la totalité du champ économique et social, ces travaux ne pourraient être menés par un seul pays.


Au-delà de l’activité de veille économique, l’OCDE constitue avant tout un forum d’échanges où comparer les expériences nationales, identifier des bonnes pratiques et trouver des réponses à des problèmes communs devient possible. L’OCDE ayant à ce jour des relations de travail avec plus de 70 économies non membres, l’appartenance à l’Organisation permet donc aussi à chaque pays, dans un contexte d’interdépendance accrue exigeant des solutions globales, de tirer profit du dialogue et de la concertation avec l’ensemble des acteurs de la scène mondiale.

Enfin, en coopération avec la Commission coréenne chargée du commerce et des échanges, l'OCDE a ouvert un  destiné à promouvoir les travaux de l’OCDE sur les politiques de la concurrence en Asie et d’aider les autorités concernées à développer et mettre en application un cadre législatif performant.

 

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