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Les relations mondiales du CAD

Aide publique au développement (APD) du Kazakhstan

 

En 2015, l’APD nette du Kazakhstan s’est élevée à 43 millions USD, contre 33 millions USD en 2014, soit une hausse de 43 % en termes réels. Le rapport de l’APD au RNB a été de 0.02 % en 2015. La Vision du Kazakhstan pour la politique étrangère 2014-20 guide sa contribution aux efforts de la communauté internationale en matière de coopération pour le développement. La Vision du Kazakhstan pour l’APD (avril 2013) définit la marche que celui-ci doit suivre pour devenir un fournisseur de coopération pour le développement. La loi n° 263-V sur l’Aide publique au développement (décembre 2014) énonce les principaux objectifs, principes, compétences et priorités sectorielles attachés à l’APD du Kazakhstan.

La loi sur l’APD constitue le socle juridique nécessaire à la création d’un organisme spécialisé, provisoirement dénommé Agence du Kazakhstan pour l’aide internationale au développement, qui relèvera du ministère des Affaires étrangères et aura pour mission d’assurer la mise en oeuvre des activités de coopération pour le développement. En attendant, c’est le ministère des Affaires étrangères qui est expressément chargé de veiller à l’application des grands axes de la politique d’APD du Kazakhstan, y compris des activités d’APD proprement dites.

En 2015, les apports du Kazakhstan dans le domaine de la coopération bilatérale pour le développement ont été essentiellement dirigés vers l’Afghanistan, le Tadjikistan et l’Ukraine. Les principaux secteurs ciblés ont été l’aide humanitaire, la gouvernance et la société civile, et l’éducation. L’APD multilatérale du Kazakhstan, qui a représenté 21 % de ses versements nets en 2015, est essentiellement dispensée par le canal des Nations Unies (80 % de son APD multilatérale en 2015), et par celui d’autres organisations internationales.

En 2016, le Kazakhstan, qui possède le statut d’Invité auprès du CAD[1]

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[1] Un Invité peut être convié, au cas par cas, à prendre part aux réunions formelles du CAD ou de ses organes subsidiaires. Il peut participer aux échanges de vues mais non au processus de décision, et il n’est pas non plus tenu de se conformer aux conclusions, propositions ou décisions du CAD.

 

 

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