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  • 9-octobre-2017

    Français

    Essai no. 318 : Stabilité de dispersion des nanomatériaux en milieu environnemental simulé

    La présente ligne directrice pour les essais de produits chimiques décrit une méthode d’essai permettant d’obtenir des données sur la stabilité de dispersion des nanomatériaux manufacturés en milieu environnemental simulé. Cette ligne directrice a principalement pour objet l’évaluation de la capacité d’un nanomatériau à former une dispersion colloïdale et à conserver cet état de dispersion dans des conditions similaires à celles de l’environnement. La méthode d’essai comporte la dispersion du nanomatériau par une procédure de sonication calibrée, et la détermination de la concentration massique du nanomatériau dans une série de récipients d’essai au cours du processus d’homoagglomération et de sédimentation des particules dans des environnements présentant différentes caractéristiques hydrochimiques.
  • 9-octobre-2017

    Français

    Essai no. 244 : Essai d'inhibition des protozoaires des boues activées

    Cette Ligne directrice décrit une méthode qui permet d’évaluer les effets d’un produit chimique sur l’activité phagocytaire de boues activées contenant des organismes protozoaires, dans des conditions pré-déterminées, dans une gamme de concentrations croissantes du produit chimique testé. Le principe d’une station de traitement biologique des eaux usées est de transformer la matière organique des eaux usées entrantes en biomasse microbienne, qui est séparée à son tour du liquide pour donner un effluent purifié. L’objectif de cet essai est de générer des données sur les effets des produits chimiques testés sur les protozoaires ciliés vivant dans les stations d’épuration qui, se nourissant de bactéries, assure la clarification des eaux usées et, par conséquent, la transparence, c’est-à-dire la faible charge organique des eaux de sortie.
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  • 9-octobre-2017

    Français

    Essai no. 247 : Bourdon, essai de toxicité aiguë par voie orale

    La présente Ligne directrice est une méthode d’essai en laboratoire destinée à évaluer la toxicité aiguë par voie orale des pesticides et d’autres produits chimiques pour des bourdons ouvriers adultes. Des bourdons ouvriers adultes sont exposés à une solution de saccharose à 50% en poids par unité de volume (500g/l), contentant le produit chimique testé. L’essai dure au minimum 48 heures. La mortalité est notée tous les jours et comparée avec les valeurs des témoins. On analyse les résultats afin de calculer la DL50 et la DSEO, si possible, à 24 heures et à 48 heures et, au cas où l’étude est prolongée, à 72 heures et à 96 heures.
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  • 9-octobre-2017

    Français

    Essai no. 245 : Abeille domestique (Apis Mellifera L.), essai de toxicité chronique par voie orale (10 jours)

    La présente Ligne directrice est une méthode d’essai en laboratoire destinée à évaluer la toxicité chronique par contact pendant une période d’exposition de 10 jours pour des ouvrières adultes. De jeunes abeilles (âgées de deux jours au maximum) sont nourries en continu et ad libitum avec une solution aqueuse de saccharose contenant le produit chimique d’essai pendant 10 jours. La mortalité et les comportements anormaux sont observés et notés quotidiennement. Les effets chroniques du produit chimique testé sont évalués en comparant les résultats du groupe traité à ceux du groupe témoin. Les effets suivants sont déterminés : la CL50 (concentration létale médiane) et de la LDD50 (dose alimentaire létale médiane) après 10 jours d’exposition ; la CSEO (concentration sans effet observé) et DASEO (dose alimentaire sans effet observé). 
  • 27-juin-2017

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    Essai n° 442B : Sensibilisation cutanée - Essai de stimulation locale des ganglions lymphatiques: BrdU- ELISA

    L’Essai de stimulation locale des ganglions lymphatiques: BrdU-ELISA (ELGL: BrdU-ELISA) est une variante non radioactive de la méthode ELGL qui vise à identifier les substances chimiques sensibilisantes et à mesurer la prolifération lymphocytaire qu’ils induisent dans les ganglions lymphatiques auriculaires. Cette méthode décrite chez la souris  se base sur la quantification de la 5-bromo-2- désoxyuridine (BrdU), un analogue of thymidine, dans l’ADN des lymphocytes, comme indicateur de cette prolifération. Quatre animaux au minimum sont employés par groupe de dose, avec au minimum trois concentrations de la substance d'essai, plus un groupe contrôle négatif traité avec le véhicule seul, et un contrôle positif, au besoin. Le protocole expérimental dure 6 jours. Ensuite, les animaux sont euthanasiés et une suspension unicellulaire de cellules de ganglions lymphatiques (CGL) est préparée. La procédure de dispersion des CGL est une étape cruciale, en particulier pour les ganglions lymphocytaires très petits chez le animaux du groupe contrôle négatif. Ensuite la BrdU dans l’ADN des lymphocytes est quantifiée à l’aide d’un kit de dosage ELISA ou par cytométrie de flux (FCM). L’essai inclut des mesures (pesée, BrdU) et des observations cliniques quotidiennes. Les résultats sont exprimés par l’Indice de Stimulation (IS) obtenu par calcul à partir des indices moyens de marquage BrdU pour les différents groupes. Un SI ≥1.6 pour la méthode ELISA ou un SI ≥2.7 pour la cytométrie de flux justifie l’évaluation de la substance d’essai comme sensibilisant potentiel.
  • 29-juillet-2016

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    Essai n° 489 : Test des Comètes In Vivo en Conditions Alcalines sur Cellules de Mammifères

    L’essai in vivo d’électrophorèse sur gel en conditions alcalines de cellules isolées, aussi appelé test des comètes est une méthode mesurant les cassures de brins d’ADN dans les cellules eucaryotes. Chaque groupe traité est composé au minimum de 5 animaux d’un même sexe (ou de chaque sexe si besoin est). On utilise également un groupe témoin positif et un groupe témoin négatif. Les animaux reçoivent un traitement quotidien sur une durée de 2 jours ou plus, permettant au produit chimique d’essai d’atteindre le tissu cible, celui-ci peut être le foie, le rein, ou tous autres tissus si cela est justifié. Les tissus à étudier sont disséqués et des suspensions de cellules/noyaux isolés sont préparées, puis incluses dans un gel d’Agarose pour être fixé sur des lames. Les cellules/noyaux sont traitées avec un tampon de lyse pour éliminer la membrane cellulaire et/ou nucléaire. L’ADN nucléaire dans l’agar est ensuite soumis à une électrophorèse à pH élevé produisant des structures ressemblant à des comètes qui, si l’on utilise les colorants fluorescents appropriés, peuvent être observées par microscopie à fluorescence. En fonction de leur taille les fragments d’ADN migrent de la tête vers la queue de la comète, et l’intensité de la queue de la comète relative à l’intensité totale (tête plus queue) reflète l’ampleur des cassures de l’ADN.
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  • 29-juillet-2016

    Français

    Essai n° 242: Essai de reproduction chez Potamopyrgus antipodarum

    Le test de reproduction chez l'espèce Potamopyrgus antipodarum (hydrobie des antipodes) a pour objet l’évaluation des effets potentiels d’une exposition prolongée aux produits chimiques sur la reproduction et la survie de lignées parthénogénétiques de cet escargot d’eau douce. À cet effet, on expose des femelles adultes à une gamme de concentrations du produit chimique testé. Le produit chimique testé est mélangé à de l’eau de dilution (eau reconstituée), ajouté aux béchers destinés à l’essai, puis des escargots adultes sont placés dans les béchers. Si l’essai porte sur des « produits chimiques difficiles » (c’est-à-dire volatiles, instables, facilement biodégradables ou adsorbants), il est possible de conduire l’essai en conditions dynamiques, en s’écartant de la conception semi-statique avec renouvellement du milieu à intervalles réguliers. On étudie la survie de P. antipodarum au cours de la période d’exposition de 28 jours, et la reproduction à l’issue des 28 jours d’exposition au produit chimique testé. La reproduction est mesurée par le nombre d'embryons contenus dans la poche embryonnaire (sans distinction du stade de développement) à la fin de la période d'exposition de 28 jours. L’effet toxique du produit chimique testé sur le nombre d’embryons est exprimé sous la forme d’une CEx, établie en appliquant aux données un modèle d’ajustement adapté afin d'estimer la concentration qui produirait une réduction de x % du nombre d’embryons. Il est également possible d’exprimer l’effet toxique du produit testé par la concentration sans effet observé et la concentration minimale avec effet observé (CSEO/CMEO).
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  • 29-juillet-2016

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    Essai n° 476 : Essais in vitro de mutation génique sur cellules de mammifères utilisant les gènes Hprt et xprt

    L'essai in vitro de mutation génique sur des cellules de mammifères peut être employé pour détecter des mutations induites par les substances chimiques. Dans cet essai, les systèmes genetiques utilisés permettent de détecter une mutation sur les loci de l’hypoxanthine-guanine phosphoribosyl transferase (HPRT) et d’un transgène de la xanthine-guanine phosphoribosyl transferase (XPRT). Les essais de la mutation de HPRT et de XPRT détectent différents types d’événements génétiques. Des cellules en suspension ou en culture monocouche sont exposées à quatre concentrations analysables de la substance d'essai au moins, avec et sans activation métabolique, pendant une période appropriée. Elles sont repiquées pour déterminer la cytotoxicité et pour permettre l'expression phénotypique avant la sélection. La cytotoxicité est habituellement déterminée en mesurant l'efficacité de clonage relative (survie) ou la croissance totale relative des cultures après la période de traitement. Les cultures traitées sont maintenues dans le milieu de croissance pendant une période suffisante, caractéristique de chaque locus et de chaque type cellulaire, afin de permettre l'expression phénotypique presque optimale des mutations induites. La fréquence de mutant est déterminée par l’ensemencement d’un nombre connu de cellules dans le milieu contenant l'agent sélectif pour détecter des cellules mutantes, et dans le milieu sans agent sélectif pour déterminer l'efficacité de clonage (viabilité). Après un temps approprié d'incubation, des colonies sont comptées.
  • 29-juillet-2016

    Français

    Essai n° 431 : Corrosion cutanée in vitro : Essai sur modèle de peau humaine

    La présente Ligne directrice porte sur le danger de corrosion cutanée pour la santé humaine faisant suite à une exposition avec un produit chimique. La corrosion cutanée désigne la survenue de lésions irréversibles de la peau qui se manifestent par une nécrose visible, selon la définition du Système Général Harmonisé pour la Classification et l’Étiquetage des produits chimiques.Cette Ligne directrice décrit une procédure in vitro permettant d’identifier les substances et mélanges corrosifs et non corrosifs, en faisant appel à un épiderme humain reconstitué qui reproduit fidèlement les propriétés histologiques, morphologiques, biochimiques et physiologiques des couches supérieures de la peau humaine. La procédure sur épiderme humain reconstitué part du principe que les substances corrosives sont capables de pénétrer dans le stratum corneum (couche cornée) par diffusion ou érosion, et sont cytotoxiques pour les cellules des couches sous-jacentes. Deux réplicats sont employés pour chaque traitement (ou durée d'exposition), et pour les contrôles. Les substances corrosives sont identifiées sur la base de leur capacité à réduire la viabilité cellulaire en dessous des valeurs seuils définies pour des périodes d'exposition spécifiques. La viabilité cellulaire est mesurée via la conversion enzymatique du colorant vital MTT en un sel de formazan bleu mesuré quantitativement après son extraction des tissus. Les substances corrosives sont mises en évidence par leur capacité à faire chuter la viabilité cellulaire sous un seuil prédéterminé.Les produits chimiques colorés et ceux qui interfèrent avec le MTT peuvent également être testés par procédure HPLC.Plusieurs méthodes validées sont référencées dans la Ligne directrice et suivent la procédure décrite ci-dessus. Certaines méthodes référencées permettent par ailleurs la sous-catégorisation des produits corrosifs.
  • 29-juillet-2016

    Français

    Essai n° 473: Essai d'aberration Chromosomique In Vitro chez les Mammifères

    Le but de l'essai in vitro d'aberration chromosomique est d'identifier les agents qui causent des aberrations chromosomiques structurales dans les cellules mammifères cultivées. Les aberrations structurales peuvent être de deux types : chromosomiques ou chromatidiques. L'essai in vitro d'aberration chromosomique peut utiliser des cultures de lignées cellulaires établies, des souches cellulaires ou des cultures de cellules primaires. Des cultures cellulaires sont exposées à la substance d'essai (liquide ou solide) avec et sans activation métabolique pendant environ 1.5 fois le cycle cellulaire normal. Au moins trois concentrations analysables de la substance d'essai devraient être employées. Il faut normalement réaliser les cultures en doublon à chaque niveau de dose. À intervalles prédéterminés après exposition des cultures de cellules à la substance d'essai, les cellules sont traitées avec une substance qui bloque la métaphase, récoltées et teintées. Les cellules métaphasiques sont analysées au microscope pour déceler les aberrations chromosomiques.
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